Que suggérez-vous pour réduire l'itinérance et la toxicomanie dans nos villes ?
L'itinérance touche toutes les grandes villes canadiennes et, malheureusement, Montréal et le Québec n'y échappent pas.
Selon un article publié l'an dernier par Radio-Canada, le nombre de personnes en situation d'itinérance au Québec aurait bondi de 73% entre 2018 et 2022, passant de 5 789 à 10 000 individus. Et la situation ne semble pas s'être vraiment améliorée depuis...
L'itinérance affecte des individus et des familles, mettant en lumière des lacunes dans nos systèmes de soutien et de logement.
Parmi les principales causes, la crise du logement, avec une pénurie croissante de logements abordables dans nos centres urbains, expose de plus en plus de personnes à la rue. Les défis liés à la santé mentale et à la toxicomanie sont également des facteurs significatifs, souvent exacerbés par un accès limité à des services de santé mentale et de réadaptation. De plus, la précarité économique et le manque d'opportunités d'emploi stables contribuent à maintenir certains individus dans un cycle d'instabilité résidentielle. La violence domestique, les ruptures familiales et sociales, ainsi que l'absence de réseaux de soutien solides, peuvent également précipiter des personnes dans la spirale de l'itinérance. Les causes sont multiples et souvent inter-reliées.
Face à cette situation dramatique, le Gouvernement du Québec s'est doté en 2021 d'un beau « Plan d'action interministériel en itinérance 2021-2026 », assorti d'investissements de 280 M $ sur cinq ans.
Beaucoup de blabla et d'argent investi mais concrètement, dans la rue, avez-vous vu une amélioration jusqu'à présent? Verrons-nous encore cet été, des campements d'itinérants apparaître un peu parto...
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En allant récemment me balader sur la rue Ste-Catherine, au centre-ville de Montréal, j'ai été troublé de voir autant d'itinérants quémander de l'argent à chaque coin de rue et même parfois dormir sur le trottoir ou dans les entrées de commerces fermés ou désaffectés....L'itinérance touche toutes les grandes villes canadiennes et, malheureusement, Montréal et le Québec n'y échappent pas.
Selon un article publié l'an dernier par Radio-Canada, le nombre de personnes en situation d'itinérance au Québec aurait bondi de 73% entre 2018 et 2022, passant de 5 789 à 10 000 individus. Et la situation ne semble pas s'être vraiment améliorée depuis...
L'itinérance affecte des individus et des familles, mettant en lumière des lacunes dans nos systèmes de soutien et de logement.
Parmi les principales causes, la crise du logement, avec une pénurie croissante de logements abordables dans nos centres urbains, expose de plus en plus de personnes à la rue. Les défis liés à la santé mentale et à la toxicomanie sont également des facteurs significatifs, souvent exacerbés par un accès limité à des services de santé mentale et de réadaptation. De plus, la précarité économique et le manque d'opportunités d'emploi stables contribuent à maintenir certains individus dans un cycle d'instabilité résidentielle. La violence domestique, les ruptures familiales et sociales, ainsi que l'absence de réseaux de soutien solides, peuvent également précipiter des personnes dans la spirale de l'itinérance. Les causes sont multiples et souvent inter-reliées.
Face à cette situation dramatique, le Gouvernement du Québec s'est doté en 2021 d'un beau « Plan d'action interministériel en itinérance 2021-2026 », assorti d'investissements de 280 M $ sur cinq ans.
Beaucoup de blabla et d'argent investi mais concrètement, dans la rue, avez-vous vu une amélioration jusqu'à présent? Verrons-nous encore cet été, des campements d'itinérants apparaître un peu partout dans nos parcs et boisés?
Que faudrait-il faire de toute urgence pour aider ces malheureux à sortir de l'itinérance et de la toxicomanie ? 🤔
Et nous, citoyens, soutenons aussi de notre mieux les organismes œuvrant auprès des itinérants par nos dons d'argent, de nourriture ou de vêtements; sensibilisons notre communauté et faisons pression sur les décideurs politiques locaux et nationaux pour qu'ils appliquent immédiatement des mesures concrètes et efficaces pour éradiquer ce fléau.
Agissons!
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